L'emprise de l'alcool ne connaît pas de frontières. Que vous soyez directement concerné ou que vous souteniez un proche, sachez que vous n'êtes pas seul.
Ici, vous ne serez ni jugé(e),ni sermonné(e). Notre mission est de vous guider et de vous accompagner dans votre démarche de sevrage en Turquie. Ensemble, nous mettrons en place les meilleures conditions possibles pour vous aider à sortir de la dépendance.
Ensemble, brisons le silence et retrouvons le chemin du traitement de l'alcoolisme en Turquie !
- Toute personne ayant développé une dépendance à l’alcool.
- Sevrage physique : entre 7 et 10 jours.
- Prise en charge psychologique : Plusieurs semaines à plusieurs mois.
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Qu’est-ce que l’alcoolisme ?
On appelle « personne alcoolique » toute personne manifestant un besoin intense et répétitif de consommer des boissons alcoolisées. L'alcoolisme ou « éthylisme » est donc une dépendance à l'alcool. Cette dépendance se manifeste par :
- Une tolérance à l'alcool chez l'individu en question.
- Apparition du syndrome de sevrage en cas de privation d'alcool.
- Le consommateur dépendant consacre beaucoup de temps et d'argent à l'achat et la consommation de l'alcool.
L'alcoolodépendance ne survient pas subitement, il faut plusieurs années pour qu'un individu et son entourage s'aperçoivent du problème.
Si vous envisagez un sevrage de l'alcool, ne le faites pas seul ! Contactez des spécialistes pour une prise en charge sécurisée et efficace. Chez Turquie Santé, nous vous accompagnons dans votre démarche avec des solutions médicales adaptées à vos besoins.

Causes de la dépendance à l'alcool
L'alcoolodépendance est principalement due à un trouble neurobiologique au niveau des récepteurs de la dopamine (la molécule du plaisir). Cette molécule est le principal neurotransmetteur dans « le circuit de la récompense » du cerveau. Si chaque fois qu'une personne consomme de l'alcool, elle se sent bien, cela l'incite généralement à en boire davantage.
Il existe également d'autres facteurs de risque, on peut les citer comme suit :
- Les maladies psychiques : comme la schizophrénie, la dépression ou l'anxiété.
- Facteurs sociaux : comme la pauvreté, l'isolation et la timidité.
Qui sont les profils à risque ?
L'alcoolodépendance varie selon le sexe du sujet, son âge, son patrimoine génétique ainsi que son milieu culturel d'origine. À titre d'exemple :
- Les femmes et les adolescents plus susceptibles que d'autres de devenir alcooliques.
- Les personnes issues de parents ayant des problèmes d'alcoolisme ont 50 à 60 % plus de chance de devenir alcoolodépendante.
- Les personnes issues d'un milieu pauvre ont une consommation de boissons alcoolisées supérieure à celles issues d'un milieu plus favorisé.
- Les personnes qui souffrent de troubles psychiatriques semblent être plus vulnérables à l'alcool.
Conséquences de l’alcoolisme
Abuser des boissons alcoolisées à long terme favorise l'apparition de plusieurs maladies pouvant parfois entrainer la mort, telles que :
Les cancers
L'alcoolodépendance augmente les risques de cancers quel que soit le type d'alcool consommé. Ces cancers peuvent toucher les voies aérodigestives supérieures, le foie, le côlon et le rectum.
Les maladies du foie et du pancréas
L'éthanol, principal composant des boissons alcoolisées, est une toxine destructive pour le foie. Il est souvent à l'origine de cirrhose, une maladie chronique et incurable qui entraine très souvent la mort.
L'alcool n'endommage pas uniquement le foie. En effet, dans la majorité des cas de pancréatite observés, la principale cause est la consommation abusive de l'alcool.
Les maladies cérébrales et les troubles psychiques
L'alcoolodépendance peut causer des troubles de mémoire pouvant mener au syndrome de Korsakov, une maladie qui détruit irréversiblement la mémoire.
Elle est également responsable de troubles psychiques telles que l'anxiété, la dépression, l'insomnie et peut même conduire au suicide.
Les troubles cardiovasculaires
Les personnes alcooliques sont plus susceptibles d'avoir de l'hypertension et de souffrir d'accidents vasculaires cérébraux. À noter également que boire une grande quantité d'alcool d'un seul coup peut entraîner des troubles du rythme cardiaque. Ces derniers peuvent, par conséquent, augmenter le risque de mort subite.
Comment peut-on aider une personne alcoolique ?
Il est difficile d'aider une personne à arrêter l'alcool contre son gré. C'est pour cette raison qu'il faut s'y prendre avec délicatesse et beaucoup d'empathie.
Il faut également comprendre pourquoi cette personne boit-elle ? Est-ce pour se réconforter ? A-t-elle des problèmes qu'elle essaie de noyer dans l'alcool ? Est-elle mal entourée ?
Évidemment, vous ne pouvez pas répondre à ces questions tout seul. Tout ce que vous pouvez faire c'est de ne pas la juger ou la culpabiliser. Car si vous le faites votre proche va vous résister et va consommer encore plus de boissons alcoolisées. C'est pour cela qu'il est important de demander l'avis d'un docteur spécialiste dans en traitement de la toxicomanie. N'hésitez donc pas à faire appel à un médecin spécialisé en psychothérapie pour répondre à toutes vos questions.
Turquie Santé vous met en relation avec les meilleures cliniques de traitement d'alcoolisme et les meilleurs spécialistes dans le domaine.
Cependant, c'est au patient de manifester son envie de guérir et de soumettre sa demande de prise en charge médicale. Il est également possible qu'une cure de désintoxication soit imposée au concerné dans les deux cas suivants :
- Une condamnation pénale avec obligation de prise en charge médical.
- Être placé sous tutelle.
Processus du traitement de la dépendance à l'alcool en Turquie
Le traitement de la dépendance à l'alcool passe par plusieurs phases :
Phase du diagnostic
Cette étape a pour but de déterminer le degré de la dépendance du patient et ses effets sur sa santé. Elle regroupe plusieurs procédures telles que :
- L'examen cytobactériologique de l'urine.
- Le dépistage du VHB, VHC et du VIH.
- Un bilan sanguin FNS (formule numérique sanguine).
- Une analyse biochimique sanguine.
- L'électrocardiogramme(ECG).
- Une série de procédures (Endocrinologie, Uronéphrologie, Pneumologie, Gastro-entérologie).
- Test psychologique.
D'autres examens peuvent être programmés si l'état de santé du patient le nécessite.
Phase de traitement
- Le sevrage : C'est l'étape durant laquelle le patient s'abstient de consommer toute substance alcoolique. Elle a pour but d'éliminer la toxine de l'éthanol du corps du patient tout en surmontant le syndrome du sevrage. L'étape dure dix jours, et elle est accompagnée par une prise de médicaments et de compléments alimentaires. Ces derniers ont pour objectif de permettre aux organes affectés (cerveau, foie et reins) de se rétablir.
- La psychostabilisation : C'est la phase pendant laquelle le psychiatre aide le patient à se détacher psychiquement de l'alcool. En effet, le patient commencera à aimer son état de sobriété grâce à plusieurs procédures.
- Les techniques de stimulus aversifs : Cette thérapie associe le sentiment agréable que procure l'alcool à un sentiment désagréable. Cela permet de développer, au niveau subconscient du patient, un sentiment de dégoût envers l'alcool.
- La thérapie N.E.T. : Une procédure qui permet de stabiliser les hormones déséquilibrées à cause de l'alcool.
- La procédure Transair : Ce traitement a pour but de normaliser les fonctions du cerveau et réduire les troubles psychiques causés par l'alcool.
- La psychothérapie : Cette étape inclut plusieurs techniques. Cependant, elle repose principalement sur des entretiens entre le psychothérapeute et le patient afin d'évaluer le comportement de ce dernier.
Comment éviter la rechute après mon traitement de l'alcoolisme ?
La lutte contre l'alcoolisme ne s'arrête pas après le traitement initial. Pour éviter les rechutes, un suivi médical rigoureux est essentiel. Pendant un an, un médicament spécifique est administré sous forme d'implant, d'injections ou de comprimés. Celui-ci provoque une réaction désagréable en cas de consommation d'alcool, aidant ainsi à dissuader toute rechute.
Les clés d'une guérison durable :
- Maintenir un suivi médical régulier avec son médecin et l'hôpital.
- Modifier ses habitudes quotidiennes et adopter un mode de vie sain.
- Respecter scrupuleusement le traitement prescrit.
Pourquoi choisir un centre de traitement de l'alcoolisme en Turquie ?
Turquie santé vous accompagnera dans votre choix de clinique de traitement la dépendance à l'alcool. Nos cliniques vous garantissent :
- Le respect de votre intimité et votre vie privée.
- Le respect de votre secret médical.
- Aucun frais supplémentaire ne vous sera facturé.
- Taux de réussite élevée.
- Respect des normes internationales.
- Des interprètes à votre disposition.
Sevrage en Turquie : des cures de désintoxication efficaces et accessibles
Vous cherchez une solution efficace et abordable pour vous libérer de votre addiction ? Turquie Santé vous accompagne dans votre démarche en vous proposant des cures de désintoxication sur-mesure en Turquie, à des tarifs compétitifs.
Nous savons que le coût peut être un frein au traitement. C'est pourquoi nous négocions avec nos cliniques partenaires pour vous garantir des soins de qualité à prix accessible. Nos établissements sont accrédités et dotés d'installations modernes et confortables, avec une équipe médicale hautement qualifiée à votre service.
Nous prenons le temps d'évaluer vos besoins pour vous proposer un programme personnalisé, combinant sevrage physique et thérapies adaptées.
Contactez-nous dès aujourd'hui pour un devis gratuit et commencez votre chemin vers la guérison avec Turquie Santé. Parce que votre bien-être est notre priorité !
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Afin de prévenir les rechutes, voici nos conseils :
- Inscrivez-vous à une thérapie de groupe ;
- Évitez le surmenage ;
- Trouvez des alternatives à l'alcool, une nouvelle occupation par exemple ;
- Ne buvez pas pendant les fêtes, même pas un verre, l'alcool restera toujours plus puissant que vous.
Oui ! Comme chez les alcooliques anonymes, les patients dans les centres de sevrage alcoolique en Turquie peuvent garder l'anonymat. Aucune information ne sera partagée contre leur gré.
Il n'existe pas de durée fixe pour tous les patients. Chaque patient reçoit un traitement personnalisé et propre à sa situation. Par ce fait, la durée du traitement est variable.